- 06.81.52.40.17
- compagniesoon@gmail.com
Jimmy Dagba – Création visuel affiche – Saffronia
Morgane Véronnet – Charte graphique, newsletter, gestion des réseaux sociaux, visuels – Cie Soon
Caroline Frasson-Cochet – Création logo – Cie Soon
Samantha Julien – Administratrice – productions.soon@gmail.com
Guylaine Macquart – Chargée de diffusion – guylaine.macquart@gmail.com
Samuel Clémente – Reprise lumières – A Voodoo Child
Rosemonde Arrambourg – Création lumières – Ptite Folie
Manu Deligne – Son – A Voodoo Child
Julien Lemarie – Mise en lumière – Formation ASAP
Thierry / UpperGround Studio – Bande son : enregistrement et mastering – Saffronia
Nelly Bourrier – Création costumes – Saffronia
Une création de l’Agence Digitale Oktopod
Biographie :
Autodidacte à la danse métissée, elle s’est formée entre Clermont Ferrand, Montpellier, Paris et Ouagadougou aux danses Hip Hop,House, Gwoka et traditionnelles d’Afrique de l’Ouest.
Depuis sa première rencontre professionnelle avec la compagnie Malka en 2005, elle travaille avec des compagnies de danse Hip Hop comme E.Go, Alexandra N’Possee, Nomade ou Tenseï, ainsi qu’avec des chorégraphes aux esthétiques hybrides comme Mélisa Noël (Compagnie Soon), Milène Duhameau (compagnie Daruma) ou au croisement des disciplines avec les Guêpes Rouges Théâtre ou la compagnie Dife Kako, autant sur des projets de création que de transmission. Elle se nourrit de la diversité des formes et des espaces que lui offrent ces collaborations et développe un vocabulaire contemporain qui lui est singulier.
Pédagogue, formatrice, parfois regard extérieur ou assistante chorégraphique, elle appelle dans sa danse et sa transmission des outils et des formes dérivées de diverses influences, avec énergie et sincérité.
Depuis 15 ans elle transmet la danse à différents types de public en conservatoire, école de danse ou en institutions spécialisées type IME, ITEP, EPHAD, milieu carcéral et mène des ateliers chorégraphiques amateurs au sein des compagnies avec lesquelles elle travaille… (cie Ego au Burkina Faso, Cie Soon, Cie Daruma et cie Dife Kako aux antilles et Guyane)
Entre 2006 et 2010, En validant une Licence de psychologie Clinique à Montpellier, elle suit deux formations de formateurs en danse hip hop encadrée par l’ADDMD puis l’école municipale de danse de Clermont Ferrand, aux côtés de Mic Guillaumes, Stéphanie Nataf, Pierre Bolo, Olivier Lefrancois et Aurélien Kairo.
Pour approfondir ses outils de transmission : Elle suit deux Formations au CND de Lyon sur « pédagogie et danses traditionnelles » et « Danse et handicap » ; Valide un brevet d’intervenant en art thérapie à l’université de Tours en 2011 et évolue depuis 2014 comme formatrice dans des instituts de formation de l’éducation nationale ou du travail social.
Biographie :
Danseur, chorégraphe et pédagogue. Sa première rencontre avec la danse remonte à 1983. Il crée sa première compagnie de danse hip- hop « XYZ » en 1988 et, jusqu’en 2000, exerce cette danse principalement dans l’événementiel et à la télévision (Succé Fou, Sébastien c’est fou, Jacques Martin, Champs et Elysés, Clip des Gypsy King, Cheb Khaleb, Jacques Higelin…) En parallèle, il est interprète pour des compagnies de jazz (Claudette Walker en 1988 et René Deshauteur en 1992/1993), de danse contemporaine (Jean-Michel Agus en 1994), des opéras en danse néo- classique et contemporaine, sur les scènes de Covent Garden, de l’Opéra Bastille, du Théâtre du Châtelet (King Arthur de Ron Howel en 1993, Mahagony de Shun Walsh en 1995, Rigoletto de Jérôme Savary en 1996…).
À partir de l‘année 2000, il se consacre entièrement à la danse hip- hop, comme interprète, chorégraphe et metteur en scène. Il met en scène plusieurs pièces parmi lesquelles « Racine » des Wanted Posse et « Buanattitude » de Junior Bosila. Il assiste également les chorégraphes Bouba Landrille Tchouda (compagnie Malka), Bintou Dembélé (compagnie La Rualité), Sébastien Lefrançois (compagnie Trafic de Styles) et Farid Berki (compagnie Melting Spot, pour laquelle il fait également partie des interprètes des spectacles « Hip Hop Aura » et « Les enfants perdus »)… Il assiste aux répétitions des compagnies de Kader Attou, Farid Berki, Hamid Ben Mahi, Anthony Egéa, Kimson et David Cola et analyse les modes de compositions chorégraphiques, les modes de transmissions et ce qui constitue la particularité des différentes écritures.
En 2010, avec sa cie Espace des sens, il crée « Prière de Femme. Puis suivent les créations « O.Keskia » (2008), « Conférence dansée » (2011), «Qu’en sera-t-il d’hier ? », «Paroles d’anciens » (2013) qui tournent régulièrement. En 2015 il co-écrit le duo « E-CHANGE » avec Hakim Maiche, et « Be a boy n’est pas l’homme que je suis » avec la chanteuse comédienne Mérielle Mérine, projets soutenus par le CCN de la Rochelle, le CCN de Créteil, Drac Ile de France et le Centre de danse du Galion à Aulnay-sous-Bois. En 2016 suit « Trace, empreinte et écriture » avec Kalouf (graffeur) et « Mouvement T » soutenus par le CG 93 et le Centre de danse du Galion à Aulnay-sous-Bois. Il a obtenu le diplôme d’état en danse contemporaine et le diplôme de formateur de formateurs en « AFCMD » (analyse fonctionnelle du corps dans le mouvement dansé) au Centre National de la Danse.En 2012, il participe au film « Approches somatiques et création artistique sur l’AFCMD » avec Odile Rouquet.
En 2013, le CCN de La Rochelle, en partenariat avec le CESMD de Poitou-Charentes, lui commandent des écrits sur les différentes esthétiques de danse hip- hop en France. Il enseigne les modes de composition et donne des cours techniques de hip-hop à l’Ecole des Sables (Sénégal), faisant un lien entre les danses traditionnelles et les techniques fondamentales de la danse hip-hop.
Il est directeur pédagogique pour la formation de formateur en danse hip-hop à l’ADIAM 91, ACT-ART 77. Il enseigne l’analyse fonctionnelle du corps dans le mouvement dansé et les modes de compositions à la Juste Debout School, pour l’ADIAM 94 et 67, au Centre de formation Rêvolution du chorégraphe Anthony Egéa à Bordeaux, à l’école d’Anne Marie Porras et à l’école James Carles (pour le DE jazz et contemporain) à l’université de Corse(DE Jazz), à Poitier dans la formation pour les formateurs spécialistes en AFCMD pour le DE.
Il a été Jury pour le DE à L’école d’Anne Marie Porras EpseDanse, au Studio du Cours, au CEFEDEM de Normandie et au CESMD d’Aquitaine, à l’école James Carlès, à l’Institut Supérieur des Arts de Toulouse. Il enseigne l’AFCMD au CND de Pantin (formation des 200h au DE contemporain) et à l’institut français de Casablanca.
Biographie :
Marianne Duforeau s’initie d’abord aux danses d’Afrique de l’Ouest, avec la Cie Alipha qui cherche à développer une danse afro-contemporaine. Elle poursuit les rencontres avec des compagnies qui travaillent au croisement de plusieurs danses, notamment urbaines (hip-hop, break) et contemporaines. La Cie Daruma, qui accompagne un groupe de danseuses amateures, permet à Marianne de questionner sa pratique d’interprète, et sera à l’origine de sa recherche de professionnalisation. Engagée autour de la question du collectif, elle cherche à aiguiser son rapport à soi et à l’autre, et s’intéresse aux modes de rencontres avec le public. Un dancefloor, une rue, deviennent des opportunités pour adresser un geste, partager un espace, confronter sa danse à la justesse d’une rencontre.
Biographie :
Titulaire d’un Diplôme d’Etude Chorégraphique en danse contemporaine, au Conservatoire Régional de Clermont-Ferrand, Margaux est aujourd’hui à la découverte de différents univers chorégraphiques pour nourrir sa pratique. Pour ajouter une dimension réflexive, à cette recherche pratique, elle démarre, cette année, un master de recherche en danse à l’université de Paris 8. Elle entame aussi un début de création avec la Compagnie lyonnaise Vernis Rouge.
Au travers d’une danse à la croisée de la tonicité, de la fluidité et de l’engagement, elle aime découvrir des univers liant physicalité et acrobatie dans la danse, mais aussi des gestuelles empruntées au floor work. Elle cherche aussi à atteindre un lâcher prise désarticulé conscient dans son corps et sa danse.
Dans une démarche de partage, elle tente de découvrir la diversité des rencontres avec le public.
Biographie :
Très jeune, elle s’initie à la danse urbaine via le Forum hip hop de Clermont-Ferrand. Cerise s’épanouie en poppin et locking avec Guy Sembé alias Smiley de la Cie Force 7. Un groupe se forme et Cerise est amenée à se perfectionner et à entreprendre un travail de création. Smiley party (2002) et Samadhi (2004) voient le jour et se produisent dans divers lieux. Par la suite, Cerise poursuit des études d’art à l’ENSAD et se spécifie dans le domaine du cinéma d’animation. Toujours dans une optique de travail sur le mouvement mais cette fois par le mouvement animé. Elle réalise quelques courts métrages dont Chulyen, histoire de corbeau (2015) co-réalisé avec Agnès Patron (60 sélections internationales, 15 prix dont 5 grands prix). En parallèle de son travail personnel dans les arts visuels et plastiques, Cerise collabore pour divers projets dans le spectacle vivant. Puis elle décide de renouer avec la danse afin de mettre en perspective ses deux pratiques : le mouvement animé et le mouvement vivant. Elle se nourrie à travers différents ateliers de danse contemporaine avec différents artistes tel que Rob Hayden (cie Wim Vandeykebus), Sherwood Chen, Rosa Omarsdottir, Benjamin Vandewalle, Fumiyo Ikeda, Gaëlle Bourges, l’Amicale de production… Comme une nécessité, Cerise danse pour retrouver une parole, réveiller un organe vital. Cerise danse pour se sentir bien… bien vivante.
Biographie :
Durant sa jeunesse, elle évolue en patinage à haut niveau avec en parallèle des cours de danse spécifiques à sa discipline (danse flamenco, contemporain…). La danse contemporaine en conservatoire et la danse Hip-hop viendront ensuite alimenter ses compétences. Elle a durant ses années d’études de faculté du sport coacher le groupe de danse F.F.S.U (fédération française des sports universitaire) à Nancy, avec lequel elle a chorégraphié la danse de la cérémonie d’ouverture des « Special olympics ». Actuellement danseuse interprète de la compagnie Hip-Hop Suprême Legacy nombreuses sont les scènes ou elle peut mélanger et se servir de ses diverses influences, transmettre sa passion au sein de différentes structures, et participe également à de nombreux projets européens. Elle est aussi impliquée au sein de sa ville de résidence, Clermont-Ferrand, à travers des collaborations sur certains évènements tels que les 10 ans du tram, la Journée de l’enfance, les Transurbaines… Récemment, elle remporte le 1er prix du concours lev’talents Parisien avec un extrait de sa pièce dont elle est l’auteur et la chorégraphe.
Biographie :
Aujourd’hui à la tête de la Compagnie In Vitro (née en 2013 à Reims), lauréate de la Bourse Beaumarchais/SACD « Ecrire pour le cirque », Marine Mane creuse un même sillon centré sur les relations humaines, en l’inscrivant dans un paysage artistique résolument transdisciplinaire. Marine Mane intègre, en 1997, les classes de La Comédie de Reims, dirigée par Christian Schiaretti. Il l’engage à sa sortie comme assistante à la mise en scène au sein de la troupe permanente. Au cours de ces années, elle joue sous la direction de Grégoire Ingold, metteur en scène associé à La Comédie de Reims.
Biographie :
Romain s’initie à la batterie et aux percussions à l’âge de 10 ans. A l’instar de ses héros de l’époque – Stewart Copeland, Keith Moon, John Bonham, Ringo Starr ou encore Dave Grohl – il cherche dès son plus jeune âge à développer la « musicalité » de son instrument. En 2003, il fait la rencontre de Yannick Demaison et Pierre Bogros avec qui il crée le trio Quidam : leurs 2 albums sont produits par le label Naïve. Ils donnent de nombreux concerts en France et en Europe jusqu’en 2011. Par la suite, il accompagne Peaks et By the Fall aux côtés de Morgane Imbeaud (Cocoon), Vincent Estival et Yannick Demaison.
Biographie :
Compositeur autodidacte, Yannick forme en 2003 Quidam un trio rock dans lequel il est chanteur guitariste. Entre 2007 et 2010, il sort deux albums produits par Naïve et fait de nombreux concerts en France et en Europe. Par la suite, il crée avec Morgane Imbeaud (Cocoon) Peaks. « Love », le premier Ep du duo est enregistré en 2013. En parallèle, il accompagne sur scène différents artistes, By the fall (en tant que bassiste), le Projet LEO (percussionniste, claviériste). Passionné par la composition, il imagine des empreintes sonores, et écrit des musiques de films documentaires. Il encourage aussi la création, la transmission et le partage.
Biographie :
A l’âge de 7 ans, Julien découvre l’accordéon grâce à sa grand-mère qui l’amène à un thé dansant. C’est sa première rencontre avec l’instrument, et un coup de foudre. Il prend des cours de façon sporadique les années qui suivent, puis monte un petit orchestre tout en continuant ses études. Il finit par participer à l’enregistrement d’un premier album, et décide de consacrer son temps à l’accordéon. Julien intègre le CNIMA, tout en développant les activités de son orchestre, influencé par la variété française et internationale. Il mène en parallèle d’autres projets, aux inspirations proches de la Rue Ketanou et des Ogres de Barback. C’est dans le cadre d’un projet avec le CNIMA qu’il rejoint la compagnie Soon pour Les Inédits.
Biographie :
Jean-Michel se passionne dès l’adolescence pour la musique et, en touche à tout gourmand, s’essaye à divers instruments : flûtes à bec et traversière, flûtes andines et irlandaises, harmonica, violon, trompette et hélicon, claviers, cithare, banjo … c’est finalement sur la guitare qu’il fixe son choix et au rock n’roll qu’il voue son cœur. Guitariste à l’époque, il croise l’accordéon au détour d’un bal. L’ambiance festive, la capacité à faire danser les gens, le répertoire ludique et varié le séduit. Il s’intéresse ensuite aux musiques traditionnelles et arpente pendant 7 ans l’Irlande et la Bretagne où il apprivoise la flûte irlandaise, le bouzouki, le bodhran. Il s’intéresse de très près au riche patrimoine musical des campagnes françaises : bourrées, sautières, avant deux, chapeloises, mazurkas, scottish … Après deux années au Centre Régional de Musique Traditionnelle en Limousin (CRMTL), le voilà sonneur de cabrette dans un groupe de danses folkloriques. Il recroise l’accordéon au détour d’un bal folk et commence à prendre des cours à L’Association des Musique Traditionnelle (AMTRAD), définitivement amoureux de l’instrument. Au hasard des chemins, il croise le CNIMA, Centre National et International de Musique et D’accordéon qu’il intègre en 2015.
Biographie :
Enfant gymnaste qui détestait la compétition, elle se blesse et découvre enfin la danse.Lors de ses études jusqu’en licence Staps, elle découvre la danse contemporaine et abandonne son avenir trop tracé de professeur d’EPS pour ne se consacrer qu’à la danse.
Elle se forme d’abord à Paris chez Kim Kan et rencontre Quincella Swinningham, interprète de Pina Baush, qui la plonge dans l’univers de la danse théâtre et l’engage comme assistante sur ses stages au Centre des Arts Vivants. Pierre Doussaint monte la même année un spectacle pour le cirque Kabuwazi de Berlin, spectacle mêlant la danse et le cirque, dans lequel Sophie interprètera un solo sur un trapèze. L’année suivante, elle danse pour Myriam Dooge et ses « Festins Poétiques », un parcours chorégraphique accompagné par le Taraf Borzo. En 2001, Martino Muller, danseur de Jiry Kilian, se voit confier la chorégraphie de la comédie musicale « Cindy » de Luc Plamondon et l’engage pour le rôle de Rose la Tulipe.
Parallèlement, Sophie se tourne vers le travail d’ improvisation avec Pascal Queneau interprète de Simone Forti lors d’un stage avec la Cie Philippe Découflé, participe à des happenings avec Julyen Hamilton et ensuite avec Emmanuel Grivet. En 2002, elle obtient son DE de professeur de danse contemporaine au Centre national de la Danse de Lyon et rencontre Landrille Tchouda chorégraphe de la compagnie de danse hip-hop « Malka » pour qui elle travaille depuis ( dans « Paroles de sable, paroles de vent », « OCNI », « Regarde moi », « Têtes d’affiche », « Un Casse Noisette »).
C’est ensuite avec Kader Attou et la Cie Accrorap dans le spectacle « Pourquoi pas » qu’elle poursuit son travail d’interprète pendant trois ans. En 2004, elle revient sur sa terre Tarn- et- Garonnaise pour monter des projets à partager, signant une dizaine de créations chorégraphiques, un festival de danse intitulé « A bras ouverts » à Lafrançaise (82), qui met à vue les ateliers de danse en plein coeur du village, Sophie est aussi formatrice et intervenante en Danse à l’école.
Biographie :
Après une enfance passée dans les cours de modern’jazz et de danse classique, elle découvre la danse contemporaine en 2000, en participant à différentes créations et performances en partenariat avec le Centre de Développement Chorégraphique de Toulouse, où elle décide de suivre les cours techniques pendant un an et demi. C’est en 2003 qu’elle intègre la Compagnie Dorsalis auprès de laquelle elle participera à de multiples performances intérieures et extérieures et à 3 pièces chorégraphiques. Elle continue à se former à l’improvisation (Patricia Kuypers, Franck Beubois…) et aux techniques de l’acteur (Compagnie Folapik), et participe à des laboratoires expérimentaux avec La Zampa et Motomimetico. En 2009, elle fonde la Compagnie Jaïs sur le territoire auvergnat d’où elle est originaire avec à ce jour deux créations : « Les Naïades » et « The sky was blue » en cours de travail. Elle continue les performances improvisées avec Kubilaï Khan Investigations et est interprète pour le Collectif Dynamo dans « Opus 2, Oulala », (2011). En 2011, elle est aussi interprète et chorégraphe du show musical « Remain Human » de Nancy Fortune et chorégraphe pour Eukaryote Théâtre dans « d’A… second volet ».
Biographie :
Et danse, danse danse. Et puis se nourrir de nombreuses lectures et travaux d’écritures poétiques, de recherches cinématographiques, picturales et iconographiques, ceci au long de voyages toujours orientés vers ses recherches précises en danse. Pour compléter ses compétences elle étudie le chant, le ukulélé, la flûte traversière, le théâtre et le cinéma, et va sans cesse chercher de nouvelles approches du corps, en se formant auprès de spécialistes de danses traditionnelles (Tarentella, Bharatanatyam, Capoeira, Cocô, Buto, Aïkido). Pour continuer ses apprentissages du/des corps, elle commence en 2014 une formation en Médecine Traditionnelle chinoise à l’Institut Chuzhen à Paris.
Et son parcours de danseuse interprète : elle danse six ans pour la Cie Pascal Montrouge – objets chorégraphiques (cinq créations) et le Collectif Dynamo (trois créations), trois ans pour des spectacles de Tage Larsen et Donald Kitt à l’Odin Théâtre au Danemark, pour deux créations de la Cie Soon, puis pour une création de la Cie Ladainha et une autre de la Cie l’Index. Claire-Lise Daucher s’engage en 2012 dans une collaboration franco-italienne en danse-théâtre avec le metteur en scène Roberto Aldorasi, Cie Occupazioni Insolite. Après des travaux en rue et en espaces extérieurs, ils signent ensemble en 2015 la pièce chorégraphique et théâtrale Corrispondenze, pièce co-produite par I Teatri del Sacro et Festival Montagne Racconta, tournée 2015-2016. Pour la saison 2017-2018, elle reprend les rôles dans les pièces Valse des petits carreaux et Tango à 4 temps de la Cie Les 3 Valoches.
Biographie :
Sébastien Amblard, comédien formé au Conservatoire Supérieur d’Art Dramatique de Grenoble (2000-2003) et de l’École Professionnelle Supérieur d’Art Dramatique de Lille (2003-2006), joue depuis dix ans avec de grands metteurs en scène. Sous la direction de Vincent Goethals, il interprète notamment deux monologues, Le Roi Bohème et Un tombeau pour Palerme. Il participe à la création danse théâtre de la compagnie Toujours après minuit en 2015. Il est artiste associé au Théâtre du Peuple de Bussang (Vosges) depuis la saison 2011-2012, où il encadre des stages auprès de publics adultes, « Les aventures théâtrales », et auprès des scolaires. En 2016 il joue dans Le songe mis en scène par Guy Pierre Couleau et crée le duo danse et théâtre Mon coeur pour un sonnet au Théâtre du Peuple et participe à Quichotte de Lagarce mise en scène par Interlude.